liste

Bonjour et bienvenue dans mon site ! Willkommen auf meiner Seite! welcome in my homepage! http://assistance-en-sig.blogspot.com/ SIG ; Bases de données ; Géomatique; Python; ArcGIS; QGIS;

recherche

Saturday, October 13, 2012

What ist Cloud Computing? qu'est ce qu'un Cloud computing? what is cloud computing?


Cloud Computing: What Is It?




Cloud computing is no longer just hype or a buzzword for the times. It is reshaping the IT marketplace as we know it, and it's here to stay.
The media love stories about the cloud. "The cloud" and "cloud computing" have become ubiquitous in business and technology news stories. It's popping up in consumer ads and quickly making its way into the high-level discussions of policymakers all over the world.
Early cloud adopters in both the private and public sectors are yesterday's news story. They have paved the way for the rapidly expanding early majority. And to that end, IDC industry analysts expect that worldwide IT spending on cloud services will reach $42 billion next year - in large part because the cloud computing model "offers a much cheaper way for businesses to acquire and use IT." And these days, who isn't cost cutting?
So, if cloud computing is such a big deal, why does the concept itself still leave many scratching their heads? What is cloud computing, exactly?

Well, the term has been used many ways lately. According to the Business Software Alliance, "The key features of the cloud are the ability to scale and provide, as needed, data storage and computing power dynamically in a cost efficient way, without the user having to manage the underlying complexity of the technology. Cloud computing offers tremendous potential for efficiency, cost savings and innovations to government, businesses and individuals alike. These benefits will improve government services and citizen access; transform businesses; provide new innovations to consumers; improve important services such as health care and government-provided services; and create energy savings."

As the new decade unfolds, we can expect to see more businesses, consumers - and even lawmakers - rushing to educate themselves about cloud technology and the implications that it holds for the way they work, live and play. And, they will be asking lots of questions. How will it alter the landscape of traditional IT offerings? How will it drive down costs? How will it dovetail with traditional IT architecture? Will it give rise to new policy debates?
BSA, the voice of the world's software industry on a range of business and policy affairs (and for whom I once worked), has produced a solid educational video "to help speed this transition, especially for policy-makers." The video provides the fundamentals of cloud computing - including what defines it and how it is being used, touches on its many benefits (increased efficiencies, scalability, enhanced functionality, cost savings, etc.), and then outlines key policy considerations for lawmakers.
Benefits:

Cloud services free businesses and consumers from having to invest in hardware or install software on their devices. They reduce maintenance and hardware upgrading needs; because the solutions are all Web-based, even older computers can be used to access cloud services.



For mobile users especially, cloud computing provides incredible flexibility with which professionals can work from any computing device, as long as they have access to the Web. It also makes collaboration easier, since distributed teams (or a combination of mobile workers and in-office staff) can work on shared information stored centrally in the cloud via, for example, online group ware applications.

Working in the Cloud:    

There are some obstacles to cloud computing. An Internet connection is obviously necessary to take full advantage of a cloud service. When you’re offline–or if there are any disruptions with the cloud service itself–the data may not be accessible at all. (Some cloud apps, like Gmail, have offline capability; others, like Mint, require an Internet connection. The notetaking application, Evernote, offers a good in-between or hybrid solution, with both desktop/phone software and an online service that syncs your notes to the cloud.)

But generally, in my opinion, For now cloud computing’s greatest beneficiaries may be remote workers, as Web-based apps empower us to be truly mobile and still accomplish our work.plus going to make accessing, using and managing IT easier for small businesses than ever before.





Le Cloud Computing est devenu depuis quelques années bien connu. Le cloud computing est (presque) l’avenir de l’informatique. Tous les grand acteurs IT ou bien les TIC misent leurs revenus futurs sur le cloud computing (Google, IBM, Microsoft, Adobe …). Le cloud computing pourrait conduire à des milliards de dollars d’économies d’énergie et pourrait aider à recycler les mainframes ou super-ordinateurs. Le cloud computing est le nirvana pour les freelance itinérants du net, comme Jean de Webmarketing Junkie qui explique comment il a organisé sonbureau virtuel, lui qui voyage de pays en pays tel un touareg des Temps Modernes, et également pour tous les autres travailleurs de l’information en ligne.
Le cloud, une révolution en marche forcée!

L’offre en matière de cloud computing a évolué rapidement au cours des 5 dernières années et est maintenant disponible en plusieurs offres, et, pour la plupart, elles restent évidemment centrées sur l’esprit de sécurité (public, privé, mixte, ouvert …). La migration du système de messagerie au Cloud est généralement la première étape d’un long processus de transformation et d’un nouveau paradigme informatique.
Dans mon travail quotidien j’ai eu l’occasion d’entendre de nombreux responsables informatiques me disant «Maintenant que le système de messagerie de l’entreprise est hébergé par X, je réalise l’énergie / l’argent que j’ai perdu » .
La vérité est que, pour la plupart des entreprises, les infrastructures IT ne sont pas un avantage décisif, mais plutôt un fardeau. Héberger votre propre réseau informatique implique d’acheter du nouveau matériel et des logiciels + mises à jour régulièrement, le recrutement et la formation du personnel dédié et le former aux mutations incessantes dans le domaine informatique.
Bien sûr, les grandes entreprises ont des problèmes liés à la haute confidentialité de leurs données, mais qu’en est il des plus petites / plus jeunes?
Pour les entreprises de service, ce n’est pas sorcier : si je devais faire évoluer mon installation informatique, je ne réfléchirais pas à deux fois pour me convertir au Cloud Computing. Pour les autres types d’entreprises, elles peuvent obtenir un avantage concurrentiel fort en n’investissant pas le montant initial dans l’infrastructure IT et l’investir ailleurs, dans des zones plus critiques/utiles.
Ne vous méprenez pas : je ne dis pas que le cloud computing permet de réduire votre budget informatique, il est seulement beaucoup mieux réparti dans le temps. En prime,
ce n’est pas vous le responsable en cas de problème et le
 dépannage informatique afin de remettre tout en ordre sera à la charge de la SSII.
Donc, cela nous ramène à la question initiale : Peut-on considérer une entreprise sans ses propres installations IT? Oui, je crois fermement que cette option est la meilleure dans une économie où la flexibilité et la collaboration sont les clés du match.
Externaliser votre informatique chez des fournisseurs de Cloud signifie optimiser les dépenses informatiques, avoir des logiciels toujours à jour, des données en lieu sûr et une flexibilité extrême . Les nouveaux fournisseurs, comme Salesforce, Zoho, Google ou 37Signalsfournissent des solutions qui pourraient facilement couvrir 90% de vos besoins. Les 10% restant pourraient être facilement adaptés à vos contraintes avec un développement spécifique.
Se concentrer sur l’essentiel
Je suppose que l’idée de ne pas héberger / posséder votre informatique peut faire peur, mais l’ancienne solution ne signifie pas nécessairement un service meilleur ou plus fiable et implique d’immobiliser un certain montant de cash($$$$$$…) qui pourrait vous aider à vous développer plus rapidement dans votre cœur de métier. Oui, je me réfère à votre cœur de métier, celui pour lequel vos clients payent, non pas une activité annexe.
Et ce sera mon dernier argument : Une fois que vous réalisez que c’est une activité parallèle, une activité nécessaire mais pas principale, vous serez beaucoup plus disposés à investir dans des activités plus importantes comme le référencement des sites de vos clients par exemple! 


No comments:

Post a Comment